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La fin de notre histoire sans retour ni pardon

Il faisait chaud dans les rues de Libreville, au Gabon, ce jour-là. Les rayons dorés du soleil d'Afrique de l'Ouest se reflétaient sur la façade de la cathédrale Sainte-Marie. Assis sur un banc de l'avenue de Côte d'Ivoire, je contemplais l'effervescence de la vie citadine, les âmes qui se croisaient et se délaissaient sans cesse. C'est là que notre histoire avait commencé, et c'est là qu'elle allait se terminer.

Elle s'appelait Amina. Un sourire aussi vaste que l'Okoumé, ce fleuve qui ondule à travers notre pays. Nos regards s'étaient croisés dans cette avenue animée, un jour de marché. Une étincelle, un frisson, un battement de cœur et notre histoire avait commencé.

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